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Mobilité médicale et tourisme de santé

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La mobilité médicale désigne un phénomène de flux migratoire d’individus pour des raisons de santé : un demandeur de soins sort de son pays d’origine et se rend dans un pays tiers. On parle alors de pays source (pays de départ) et de pays cible (pays de destination, où ont lieu les soins, la concrétisation de la prise en charge étant le séjour médicalisé).

Mobilité médicale et séjour médicalisé font référence  dans l’Union européenne aux soins transfrontaliers (ces soins sont programmés et se distinguent donc du rapatriement sanitaire), les médias et le grand public parlent quant à eux d’un terme générique, le tourisme de santé ou le tourisme médical (termes impropres car la partie relative au « tourisme » n’entre pas dans ce qui relève de la médecine).

Autres synonymes employés : voyage pour traitement, voyage médical, tourisme sanitaire, voyage médicalisé.

Remarque : La mobilité médicale concerne également les professionnels, qui n’est pas traitée dans cet article.

La mobilité médicale des patients induit une conception et une compréhension particulières dans le sens où le caractère international de la démarche soulève un certain nombre de questions d’ordre réglementaires, techniques, organisationnelles (les questions d’ordre purement médicales sont réglées par les professionnels de santé).

Pour faire simple, disons qu’une prise en charge complète et spécifique – qui intègre des considérations médicales et hors champs médical – débouche sur une optimisation du parcours de soins et une rationalisation des processus de prise en charge du candidat aux soins en contexte international.

Cette approche liant performance économique et satisfaction du client final (“le patient” en contexte international est bel et bien un client qu’il faut satisfaire) est parfaitement compatible avec (et n’est pas concevable sans) une obligation de résultat et une médecine de qualité. Simplement, nous considérons qu’intégrer des éléments de rentabilité et d’efficience génèrent des valeurs ajoutées à tous les niveaux.

Il est temps de cesser l’hypocrisie qui entoure le phénomène d’accueil et de traitement des patients étrangers : nous constatons aujourd’hui une prise en charge de fait des patients internationaux dans des structures de soins en France.

Simplement, du fait du caractère tabou ou plutôt non assumé de la chose (la notion de service public semble trop souvent s’opposer à la conception de performance. Certes si la santé n’est pas une marchandise au sens moral et réglementaire, les “consommateurs de soins” se sentent parfois considérés comme du bétail), la prise en charge est souvent “artisanale” et non structurée.

In fine, il s’agit de repenser le patient et le client, et de permettre aussi bien au demandeur étranger qu’au ressortissant national de bénéficier de la rentabilisation des investissements et d’une hausse qualitative de la prise en charge.